Incarnation (tome I) (cali'/moon)

Je me trouvait une nouvelle fois dans cette etat second. Celui qui me donner l'impression d'etre dans un epais brouillard. Mes sens etaient reduits , mon ouïe, mon odorat , mon toucher , mon gout, il me fallait beaucoup de concentration pour les uilisés. Je titubais devant le comptoir, lorsque le serveur intervenat :
- Un thé ?
Je m'efforça de repondre, malgres cette esperance de revenir sur mon petit nuage qui me servait de coquille de protection.
-Humm oui , je ... je croit. balbutiai-je
J'était sûr, qu'en aillant remit les pieds sur terre mes douleurs aller recommencer, je devait retourner dans cette bulle personelle avant de repenser a ce qu'il venait de ce passer 2 jours aparavant. Le seveur revint une nouvelle fois briser mes songes, Me posa la tisane encore brulante , devant moi. Elle sentait la camomille et la menthe, comme je les aimes , avait-il lui aussi lus dans mes penser ? telle est la question ... A la radio, posait sur la hote , passait une musique classique je croit, Debussy-"Clair de lune" si je ne m'abus, cette musique m'ennivrat. Une enieme fois, le serveuse vint me deranger:
-Se sera tout ?
Il decoupa chaque syllabe , insistant sur chaque mot, donnant un sens ironique a son questionnement. Je suis sûr qu'il me prenait pour demeurée !
- Oui merci , la note s'il vous plait.
Il se precipitat esperant recevoir un pour-boir ... "Mais tu te fait de fausse idées, mon vieux, desolé" me dis-je.
Une fois la note reglée, il fallait que je me depeche un sentiment me prise au depourvut...

Je regarde le ciel et la terre devant moi, l'horizon s'obscurcit : il fera bientôt nuit. Mais tout autour de moi je ne vois ni herbe, ni prairie... je ne vois que macadam et gratte-ciel.
Je me demande où va notre monde, cette terre de désillusion où les guerres commencent à se faire nombreuses, tout comme les gens pauvres et les sans-abri.
Quel heure est-il ? Je ne sais pas. Les vacances scolaires commencent et j'en profite un maximum, qui suis-je ? Un simple homme qui cherche à survivre dans la société. Cette fameuse société où seul les riches prospèrent, où les journalistes parlent de catastrophe et de crise alors qu'eux n'ont aucun problème. Ils se fichent de la mort d'une mère... ce n'était pas la leur. Qui s'est fait détroussé dans la rue ou est sans domicile fixe ? Sûrement pas eux avec leurs bodyguards et leurs limousines brillantes !
Je pense que jamais les vendeurs d'armes n'ont fait une aussi bonne année, la criminalité a augmenté comme jamais auparavant et il était désormais nécessaire de porter une arme en permanence car on risquait à tout moment d'être attaquer parce que l'on possédait quelques pièces de monnaies dans les poches. Le monde va vraiment mal...
Le soleil finit de se coucher, il est temps de rentrer si je veux éviter d'être arrêter pour ne pas avoir respecter l'heure du couvre-feu...
Un croissant de lune apparaît haut dans le ciel, brillant et magique, presque incroyable dans ce monde pollué et dénaturé, je saisit la rampe d'un escalier et descend rapidement du toit du grand building qui se tient au centre-ville.
Vite... la police, si je peux encore appeler policer ces mauvais cow-boys des temps modernes qui n'arrêtent que pour le plaisir d'avoir quelqu'un sur qui passé leur nerfs, envahirait bientôt les rues, il valait mieux ne pas traîner...

Je courut dans la rue en faisant attention de ne pas tribucher comme a mon habitude. J'essaillais de rester de marbre mon expression de la contenir. Je veux juste retourné la ou est ma nature, là ou les étoiles s'apercoivent, là ou auccun bulding ne m'enpeche de rever . Là ou enfin je pourrai m'epanouir en laissant s'evader mes songes, sans entendre les klaxons de cette jungle... Là ou la nature m'offrira la plus belle des vie , meme si je ne sait meme pas si elle existe encore, elle qui m'a adopter ,elle qui m'a elever , elle m'a donner les plus belles lecons de vie ...
Quelqu'un interromput mes songes par un bousculement ...

Il se met à pleuvoirs... comme si la terre elle même pleurait la décheance du monde entier. La pluie était accablante, les goutes martelaient le sol de ce floc floc régulier et stressant. Certains pour plaisanter disait que c'était "une pluie de fin du monde"... ils n'étaient sans doute pas loin de la vérité...
Je longe les murs pour éviter d'être mouillé, je commence à avoir froid, vite il faut que je rentre chez moi... mais chez moi c'est où déjà ? Ma famille a été tué par la police parce qu'ils refusaient d'obéir à une de leurs stupides règle, des amis je n'en ai jamais eut...Pour mes oncles et tantes, ils ont eut peur de moi, j'ai du apprendre à viv re seul... tout ce qu'il me reste c'est une petite maison qui menaçait de s'écrouler au moindre coup de vent... vestige de mon ancienne vit que j'ai enterrer avec mes parents.
Au loins j'entend une sirène qui retentit, une voiture de police m'a repérer... vite, la ruelle ! Je m'y engoufre et accèlere le mouvement pour rentrer chez moi.

Une averse se fit ressentire , mais où m'abritait ? L'eau a toujours eu des repercussion sur moi, Il y avai une petite ruelle, mais mes forces était faibles pour raversée la rue. Pourtant je decouvrais que j'était capabe de survivre. J'était alerte ; mes membres s'engourdissait je suppliait mes jambes pour continuer de me portais aussi loin qu'elles pouvait. Ces pauvres dernieres m'ont lacher , je suis tomber (rien d'ordinaire!) , j'était dans une ruelle sombre, j'y croiyait vivre mes dernieres heure, Je plongeais dans un comas profond, j'était inerte de comprendre ce qu'il se passait. Mon corp était bientot, plus qu'une carcasse vide.

La ruelle est sombre et j'ai du mal à voir devant moi, la pluie me tombe dessus, drue et froide, on aurait dit que des couteau glacés me transperçaient la chair... une sensation désagréable.
J'accélérais encore le rythme, les battements de mon coeur accéléraient, mais il fallait que je fasse attention, le sol était glissant et jonché d'immondice... un faux pas et je risquais de me faire attraper... je me souviens d'un homme qui s'est fait arrêter il y a peu... collier étrangleur autour du cou. Pire qu'une bête !
Je ne veux pas finir comme lui, non je veux vivre libre en dehors de cette cité déchue...
Au loin je vois une personne étendue au sol, je pense qu'elle est morte. Pauvre personne... mais non elle n'est pas morte, je la vois encore respirer... c'est là que je dois vite peser le pour et le contre, je me dis qu'il vaudrait mieux la laisser là, un poids supplémentaire ne ferait que me ralentir et je me ferais rattraper... mais mon coeur me disais de l'aider, si je n'intervenais pas elle risquait de mourir... Tant pis, je prend un risque.
Je passe près d'elle et la saisit au passage, elle semble étrangement légère... Plus vite encore, j'y suis presque ! Ils doivent être encore au début de la ruelle, ils ne devineront jamais le chemin par lequel je suis passé !
Je tourne à droite puis à gauche, tout faire pour brouiller mes pistes... encore un peu, bientôt je serais à l'abri de ces fous... pourtant je m'inquiète pour autre chose... pourvu que cette personne ne meurt pas pendant que j'essaye de la sauver...

J'état allonger sur le sol , inerte mais je savait exactement ce qu'il se passait autour de moi , le moindre bruit. Quelqu'un m'a soulavait , je ne pouvait plus parlé , ni bougeait, je me demandais si je respirer encore , si mon coeur avait encore le reflexe de battre. Je me laissait balloter telle une chiffe au rythme de ses grandes enjambé à travers la ville. Quelque part au fond de moi , une voix me disait de protester : les bras d'un inconnu ? Quelle horreur ! Mais une coquille vide ne proteste pas. Il me sembla que nous mîmes pas longtemps a nous retrouver au milieux des lumieres et en bruit de fond la foules. Tout doucement je rouvris les yeux , et je ne sait par quel miracle , je reussis a prononcer quelques mots :
-Qui etes...vous ?
ma voix me parraissait minime et faiblarde.

J'avais finis par ressortir des ruelles en banlieu du centre ville... un festival s'y était déroulé et les gens s'empressaient de tout récuperer pour s'éclipser le plus vite possible...
Le bruits de la police s'était tut depuis longtemps, mais je ne m'arrêtais pas...
- Qui etes...vous ?
La personne avait parlé... c'était une femme apparament, mais sa voix était faible et fatigué...
- Plus tard les questions si tu veux bien...
Je bondit sur une benne et de là saute sur le toit d'une maison de plein-pied. Presque...
Je bondit sur un autre toit, manquant de peu de finir quelques mètres plus bas... à voilà je suis arrivé, je fais passer la femme d'abord, l'ouverture est trop petite pour rentrer debout, il faut y rentrer en étant accroupis et surtout un par un... elle tombe sur le canapé juste en dessous de mon "entrée" et je me laisse finalement glissé à côté d'elle, enfin à l'abris.
Rapidement je saisis un tapis que j'accroche comme d'habitude à l'entrée pour éviter que le froid n'entre, je saisit une couverture et couvre mon invitée de circonstance et allume hativement un feu pour nous réchauffer...
Enfin à l'abris...

Suite a ma question je m'était rendormis, puij je me reveilla dans une petite piece sombre , devant moi ce tenait un parfaite inconnu...
-Qui etes vous ?
avec une voix toujours aussi febrile...

Je soupire... je n'aime pas vraiment parler de moi, mais elle semblait ne pas avoir d'autre mot en bouche... Alors je m'execute, d'une certaine manière :
- Celui qui vient de te sauver la vie... et toi ?
Je ne veux pas qu'on connaisse mon nom, elle risquerait de parler de moi aux autorités en sortant d'ici, elle pourrait même indiquer ma cachette... et là s'en serait finis de moi. Comment pourrais je lui faire confiance ?
- Tu veux un chocolat chaud ?

-Moi c'est... Gabriella... Je prefere Gabi.
J'ai jamais aimés mon prenom. C'es ma mere qui l'a choisit , selon elle, c'est l'ange gabrielle qui a donne la chance a mes parent d se rencontés ... etc...etc... Balivernes !
-Oui pour le chocolat chaud , ca me fera le plus grand bien

Je m'execute, prépare le chocolat chaud et tend une tasse à mon invitée, puis je m'en sers une pour moi et m'assoit sur un fauteuil en fasse d'elle.
- Que faisais-tu dans cette ruelle après le couvre-feu ? Tu aurais pu y laisser ta peau ou pire... te faire attraper par la police. Tu n'as donc pas d'endroit où vivre ?
Je bois une grande gorgée du liquide brulant, ça me réchaufe le coeur... La seul lumière de la pièce est celle fournie par le feu qui brule dans ma cheminé, masquant le reste du mobillier.
J'essaie d'écouter dehors... aucun bruit. Je les aie semé.

(pire que la mort cette police oO)
(Musique de fond pendant l'écriture : Runaway...)

Cet inconnus voulez tant savoir sur moi alors que je ne connaissais meme pas son prenom ! Devais-je cacher moi secret ? Oui...
-heu... c'est compliqué... vous n'avez toujours pas repondus a ma question , qui etes vous ?
J'esailler de cacher mes emotion en restant de marbre , jespere que la peur ne se lisait pas sur mon visage.

Je soupire, puis baille. Pas super si on veut essayer de se montrer sérieux.
Enfin... je me décide à répondre sinon elle ne me dira rien de plus :
- Appelle moi Shadow. C'est comme ça que je me fais appeler dans le coins. Je suis un peu une ombre qui ère dans ces rues maudites. Je suis un de ceux qui tentent de survivre tant bien que mal en ne respectant pas les règles fixés par la Societé et par les gens de La Haut.
Par La Haut, j'entendais les gens du gouvernement, de l'Etat et plus haut encore. Maintenant le monde était géré par un grand chef, un président de la Terre en somme. On le surnommé le Maître Suprême, mais certains se moquaient en disant le crétin suprême... ceux là ne survivaient pas longtemps et finissaient emprisonnés... ou pire.
Enfin, les torts de notre société moderne ne sont que trop nombreux pour être tous cités. Je bois une autre gorgée de chocolat chaud et jette un bout de bois sec pour subvenir aux besoins de mon feu.
- Toi non plus tu n'as pas répondu à ma question... que faisais tu dans cette ruelle ? Parle, j'ai tout mon temps.

-Dans cette ruelle je cherchait a m'abritait , car ... je ne vit pas dans une maison...
Je croisait les doigts pourqu'il ne cherchait pas a comprendre ... etait possible de deviner ? certe ma peau était froide mais j'aver l'excuse du temp , ma peau était blanche ... mais ce n'est pas gave sa peut paraitre naturel...et mon obsession pour la nature ? il n'était pas au courant me rassurais-je. J'essaillais de changer de sujet ...
-Pourquoi cherche-tu a eviter la loi ?
J'aver peur de lui lacer un regard tenebreux , comme je le fait si souvent , pas expres d'ailleur, je n'y peut rien...

Je demeurais dubitatif... elle semblait cacher quelque chose, mais quoi ?
- On dirais que tu n'es pas d'ici, tu dois venir d'un endroit vraiment sympa si tu ne sais pas ce qu'on vit ici... la loi, pourquoi je tente de ne pas m'y conformer ? Parce que si je le faisais je ne vaudrais pas mieux qu'un esclave sans âme et sans désir. Je pourrais dire adieu à mes rêves et à mes envies, je ne serais plus qu'un animal, un pion sur un échiquier...
Je finis ma tasse et va la posé dans un coins de la pièce... je connais mon chez moi par coeur, pas besoin de lumière. Revenant sur mon fauteuil je lui dit :
- Une ruelle n'est pas un abris, plutôt une issue pour en trouver un, retient ça...

Je m'esclaffa.
-Tu crois pas si bien dire , l'endroit d'ou je vien , tu est le maitre de ta vie. D'ailleur il faut que j'y retourne au plus vite ...
Je suis tellement fatiguée , mais c'est une course contre la montre ... En plus il ne faut as qu'il decuvre quoi que ce soit...

Je me relève d'un bond, soudain vraiment interessé par les propos de la jeune femme :
- Où ? Où est cet endroit ? J'aimerais m'y rendre... je ne veux plus me réveiller en voyant du béton... je veux vivre une véritable vie et arrêter de me cacher, où ? OU ?!
Il faut que je me calme, s'énerver ne me menera à rien... j'inspire, j'expire et je retrouve mon calme :
- Excuse moi, je me suis emporté... mais j'aimerai savoir, où est cet endroit ?

il était la tomber de la nuit ... la transformation aller commencer
-heu... ecoute ... je ... je doit y aller , je ne peut rester... Je srait dangereuse pour toi j'en...j'en suis desolée
Ma Main droite avait commencée a se transformer , je la cachis deriere mon dos.

Je restais sceptique...
- Sortir à cette heure ? C'est du suicide ! Reste donc pour la nuit, tu pourras partir demain quand il ferra jour... Là tu finirais emprisonné et rouée de coup pour ne pas avoir respecté le couvre-feu... et encore ce sera la peine minimum, il y a bien pire.
Je disais ça en connaissance de cause, mais elle ne pouvait pas voir mon bras gauche grâce à mon pull... tant mieux.
Je me demande si mes cheveux en bataille ne sont pas un peu trop noir... quel réflexion stupide. Et ma réflexion inutile sur moi même me fait penser à mes yeux... je suis sans doute un peu étrange car habituellement les humains n'ont pas un oeil de chaque couleur !
Un oeil rouge vif et l'autre d'un bleu glacial... c'était assez étrange je pense. Pas du tout commun et pas le moins du monde esthetique.
Mais bon, je reporte mon attention sur mon interlocutrice, en attendant sa réponse.

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