Mes poèmes

Encore un autre, ayant pour thème une héroïne de livre ^^

Guerrière au cœur de fer
Es-tu fière
De ce que tu appelle ta vie et qui n’est qu’un enfer ?
Guerrière rebelle
Tes paroles de fiel
Ont-elles un jour été miel ?

Guerrière au regard de feu
Je le vois dans tes yeux :
Ton cœur fut jadis amoureux…
Guerrière endeuillée
Te bats-tu pour venger
Celui que tu as aimé ?

Guerrière abattue
Je sais que tu n’as pas pu
Renoncer à ton amour perdu.
Guerrière solitaire
A jamais seule sur Terre
Âme perdue qui erre...

Je comprends ta haine.
Je respecte ta peine.
Mais, même si je ne peux t’empêcher
De combattre et de tuer ;
Même si je ne peux te réconforter ;
Je peux te murmurer
Que jamais la mort de ses meurtriers
N’a fait revivre un homme assassiné…
Malgré la force de ta haine
Malgré la force de ta peine
Ta vengeance restera vaine.

Il est si nul que ça, Moon ? ^^'

J'en ai fait un autre récemment, il faudrait que j'arrête d'écrire des trucs dans le registre séparation/tristesse...

Ne t’en va pas !
Je t’en prie, ne me laisse pas
Oui, c’est vrai, j’ai tout gâché
C’est vrai, je te l’ai caché
Je t’ai mentit, je t’ai trompé.
Mes torts sont réels, c’est vrai.
Mais depuis que mes yeux se sont posés sur toi
Depuis que j’ai entendu le son de sa voix
Depuis que j’ai connu la chaleur de tes bras
Jamais je n’ai cessé de t’aimer
Je te le jure, jamais !

Ne trouve-tu pas ça un peu facile ?
Ça faisait longtemps que notre amour ne tenait plus qu’à un fil.
Aujourd’hui, j’ai appris que c’était toi
Toi, avec des mots de miel, ta mauvaise foi
Qui avait rongé le lien qui nous unissait
Ce lien détruit à jamais
Et tu voudrais que je ne parte pas ?
Comment peux-tu dire ça ?
« Pour cette fois ça ne compte pas » ?
Peux importe si c’est ce que tu pense vraiment
C’est comme ça que je le ressens
Et je refuse de le supporter plus longtemps.

Je t’en prie, reste, ne pars pas…
J’ai fait une erreur, ça ne se reproduira pas
Je t’en supplie, ne me laisse pas !
Que veux-tu que je fasse pour obtenir ton pardon ?
J’ai l’impression que ton cœur s’est changé en plomb.
Ne veux-tu vraiment plus de moi ?
Me déteste-tu à ce point là ?
Suis-je tombée si bas ?
Je t’en prie, je suis désolée
Je ne voulais pas te blesser…
Fais preuve d’un peu d’indulgence
Donne-moi encore une dernière chance !

Non, il est trop tard pour pardonner.
J’ai réfléchis, j’ai décidé
Tu m’as trahi, tu m’as blessé
Ce sont des actes que rien ne peut effacer.
Je pourrai faire mine d’oublier
Mais plus jamais rien ne sera pareil
Désormais pour moi tout aura un goût de sel
Tout ce que me faisait penser à toi
Tout sera triste et froid
Notre amour brûlant est devenu cendres glacées.
Non, je ne peux pas te pardonner
Non, je dois m’en aller.

Et c’est ainsi que, dans la neige, dans la nuit
Une silhouette solitaire quitta sa maison sans un bruit.
L’ombre s’éloigna, le dos courbé
Les mains dans les poches, sans se retourner
Laissant rouler sur ses joues des larmes gelées.
Dans la maison délaissée,
Un visage se détachait sur une fenêtre illuminée.
Le visage d’une femme immobile et désespérée
Le visage d’une femme qui pleurait

Bah... c'est un thème récurent d'adolescent non ?
Et puis c'est les plus jolis je trouve...

Bah si j'ai pas dis +1 c'est parce que j'attends des avis sur le sondage sur les jauges, parce que si elles sont supprimés ça ne me sert à rien de continuer de les mettre à jour non ?

Le meilleur que j'ai écrit jusque là...

Vous m’avez menti.

Vous m’avez menti, vous m’avez tuée…
Je voudrais hurler ma haine,
Je voudrais pleurer ma peine.
Je voudrais l’écrire avec du sang,
Je voudrais le cracher au visage du firmament.
Vous m’avez menti, vous m’avez tuée…
Oh, riez, riez tant que vous le voudrez !
Oh, partez, partez aussi loin que vous pourrez !
Fuyez, fuyez-moi, moi et ma colère,
Fuyez, riez, il n’y a que ça que vous sachiez faire !
Foule aux milles visages, à la conscience unique et cruelle ;
Foule impitoyable au mépris immortel…
Vous m’avez menti, vous m’avez tuée…
Vous qui piétinez les plus faibles en chantant la valeur de la compassion,
Vous qui vous prélassez égoïstement dans vos chaudes maisons,
Vous qui rampez devant les puissant en criant votre indépendance,
Vous qui proclamez votre grandeur en vous vautrant dans la décadence,
Vous, vous et vos semblables,
Vous, êtres vils et méprisables !
Vous m’avez menti, vous m’avez tuée…
Ne m’aviez-vous pas dit que le monde était beau ?
Ne m’aviez-vous pas parlé d’amour, de fleurs et de joyaux ?
Vous avez menti !
Vous m’avez menti !
Ne vous souvenez-vous pas m’avoir ri au nez ?
Ne vous souvenez-vous pas de m’avoir rejetée ?
Ne vous souvenez-vous pas de mon innocence piétinée ?
Vous avez menti !
Vous m’avez menti !
Les joyaux n’étaient que poussière, les fleurs brindilles flétries.
Vous m’avez menti, vous m’avez tuée…
N’y a-t-il vraiment pas de place pour l’amour sur cette Terre ?
N’y a-t-il vraiment pas de ciel pour écouter mes prières ?
N’y a-t-il vraiment que l’Enfer ?
J’ai cru pouvoir vous ressembler, m’adapter :
Mais je ne me reconnaissais plus dans mon miroir fissuré.
J’ai cru pouvoir vous faire confiance, vous apprécier :
Mais lorsque je vous ai confié mon cœur, vous l’avez brisé.
Vous m’avez menti, vous m’avez tuée…
Je suis lassée de tous ces conflits, de toute cette haine inavouée :
Je suis lassée de tout cet égoïsme, de toutes ces futilités :
Je suis lassée de vous, vous et votre cruauté !
Vous m’avez trahie et jamais je ne pourrais vous pardonner.
Vous m’avez menti, vous m’avez tuée…
Adieu, à présent je m’en vais
Je ne peux plus le supporter.
Vous m’avez menti, vous m’avez tuée…

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